Que l’on souhaite devenir développeur informatique ou médecin, décrocher un Master en sciences humaines ou en sciences politiques, se former au cinéma ou aux métiers de la restauration, ou s’orienter vers la maintenance automobile, Saint-Quentin-en-Yvelines propose un parcours étudiant facilité. Des grandes écoles aux instituts de formation post-bac, sans négliger l’incontournable et renommée Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), tous accueillent leurs élèves avec bienveillance, comme toujours au sein du cadre de vie apprécié et verdoyant de Saint-Quentin-en-Yvelines, dont les entreprises sont toutes prêtes à recruter ensuite ceux qui y ont été formés.

« Alors que 85 % des métiers vont se transformer avec le numérique dans les dix prochaines années, nous devons former nos jeunes aux métiers de demain, en lien avec nos entreprises qui sont sur les secteurs les plus stratégiques de France », assure ainsi sans complexe Jean-Michel Fourgous, le président de Saint-Quentin-en-Yvelines et maire d’Elancourt. Sa commune compte d’ailleurs une partie des formations spécialisées dans les métiers du numérique.

Ceux qui préfèrent se diriger vers les métiers du son, de l’image et du spectacle trouveront aussi chaussure à leur pied au sein de 3iS, le premier campus audiovisuel d’Europe.

« L’objectif d’une formation, quel qu’en soit le niveau, c’est l’accès à l’emploi. Avec 17 000 entreprises ancrées à Saint-Quentin-en-Yvelines, des TPE aux grands groupes, nous pouvons allier l’excellence des formations avec notre dynamisme économique, rappelle pour sa part Philippe Guiguen, conseiller communautaire délégué aux affaires universitaires. Les opportunités, donc les chances de succès pour nos étudiants, sont là. »

Le pôle principal d’études supérieures que représente l’Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines s’inscrit pleinement dans cette dynamique portée avant tout sur l’excellence. Une volonté qui se manifeste aujourd’hui par la progression régulière de l’établissement dans les différents classements mondiaux des universités et grandes écoles : en 2019, le Times Higher Education, qui examine treize critères tels que l’enseignement, la recherche, la qualité et la qualité des publications comme les perspectives internationales, a ainsi classé l’UVSQ à la 8e place française.

L’université rassemble plus de 20 000 étudiants dans ses cinq campus yvelinois, du DUT au doctorat. Elle compte sur le territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines sa faculté de droit et de sciences politique, l’UFR des sciences de la santé, l’UFR des sciences sociales, l’Institut d’études culturelles et internationales, l’Institut supérieur du management ainsi que l’Observatoire.

Et l’établissement s’apprête à entrer dans une nouvelle ère de son histoire, toujours dans la direction de l’excellence de l’enseignement et de la recherche. Elle va ainsi devenir, en 2020, l’Université Paris-Saclay, suite à sa fusion avec l’université Paris-Sud, l’université d’Evry, l’institut d’optique graduate school, l’ENS Paris Saclay, ainsi que les écoles Centrale supélec et AgroParisTech.

De quoi regrouper 9 000 enseignants-chercheurs, ainsi que 65 000 étudiants sous une seule bannière et avec des moyens décuplés, le tout adossé à un réseau d’entreprises innovantes pour donner un maximum de chances à ses élèves. « Notre ambition, c’est aussi de faire réussir l’UVSQ dans le projet Paris-Saclay, le moteur technologique et scientifique de notre pays, pour bâtir le MIT français et intégrer le Top 20 du classement de Shanghai [des universités] », avance Jean-Michel Fourgous de cet ambitieux projet d’enseignement et de recherche.

Ceux qui préfèrent se diriger vers les métiers du son, de l’image et du spectacle trouveront aussi chaussure à leur pied à Saint-Quentin-en-Yvelines, au sein de 3iS, le premier campus audiovisuel d’Europe. Le centre de formation, qui dispose d’un site à Elancourt (l’autre est situé à Bordeaux, Ndlr), dispose de 14 000 m² d’infrastructures dédiées aux arts créatifs, dans lesquels enseignent 300 intervenants à 1 500 étudiants.

L’institut de formation fait réaliser à ces futurs journalistes, spécialistes du cinéma ou de l’animation numérique, 300 productions audiovisuelles chaque année, et a établi des partenariats avec plus de 1 500 entreprises. Ecole privée fondée en 1988, elle intègre régulièrement dans ses locaux d’Elancourt des équipements à la pointe de la modernité pour ses étudiants, et a ainsi ajouté en 2014 des cabines de projection numérique comme un studio de motion capture. Depuis 2017, 3iS propose également des formations en jeu vidéo comme des filières design graphique et design d’espace.

Pour les futurs ingénieurs, le campus de l’Estaca à Montigny-le-Bretonneux propose des formations Bac+5 dans les quatre grandes filières du transport : automobile, aéronautique, spatial et ferroviaire. Créé en 1925, l’établissement se place régulièrement en tête des écoles d’ingénieurs au sein des classements établis par les médias français.

Ils y soulignent en général l’excellence académique de l’Estaca, son adéquation avec le monde de l’entreprise, une insertion professionnelle rapide et garantie aux étudiants, ainsi que son ouverture à l’international. Elle accueille près de 2 200 étudiants, qui ont tous un stage obligatoire d’un an en entreprise. Résultat : ils sont 98 % à être embauchés dans les deux mois suivant leur remise de diplôme.

Les passionnés de numérique, eux, peuvent aussi trouver leur bonheur à Saint-Quentin-en-Yvelines grâce au Campus du numérique, qui labellise oganismes de formation et leurs propositions portant sur les métiers de demain, de Bac à Bac+5. Elles permettent de devenir programmeur, développeur web, data security helper ou spécialiste de l’internet des objets, entre autres métiers du numérique proposés.

Très largement prises en charge financièrement par divers organismes publics financeurs, ces formations sont accessibles aussi bien aux étudiants post-bac qu’aux personnes en reconversion professionnelle. Au-delà du seul label, un espace a été ouvert à Elancourt pour les écoles Simplon et Pop School, qui y prodiguent quatre parcours de professionnalisation de quatre à six mois, ou deux ans en alternance, et ce jusqu’au niveau Bac+2.

Pour les futurs ingénieurs, le campus de l’Estaca à Montigny-le-Bretonneux propose des formations Bac+5 dans les quatre grandes filières du transport : automobile, aéronautique, spatial et ferroviaire.

Au coeur du département de l’automobile, Saint-Quentin-en-Yvelines a également intégré en 2018 le tout nouveau Campus des services de l’automobile et de la mobilité (C-SAM). Ce campus écoresponsable implanté à Guyancourt peut accueillir jusqu’à 1 000 stagiaires ou apprentis. Il regroupe quatre organismes de formation spécialisés dans le commerce et la maintenance des véhicules de tous types, qu’ils soient automobiles, motos ou vélos.

Aforpa, Garac, GNFA et INCM y donnent des formations au panel très large, puisqu’allant de l’initiation aux métiers en alternance (DIMA) jusqu’au diplôme d’ingénieur. Lors d’une visite en septembre dernier, la ministre du Travail Muriel Pénicaud ne s’y était pas trompée, jugeant ce Campus comme « une très grande réussite, notamment en termes d’innovation technologique ».

Enfin, le lycée d’hôtellerie et de tourisme de Saint-Quentin-en-Yvelines forme chaque année plus de 900 étudiants. Cet établissement professionnel et technologique public situé à Guyancourt vise comme tous les autres l’excellence, atteinte avec un taux de réussite aux examens dépassant 90 % en 2016. Il offre à ses élèves un large choix de formations dans des secteurs qui recrutent en permanence, du CAP cuisine au BTS management en hôtellerie-restauration en passant par un Bac pro boulanger-pâtissier.

CREDITS PHOTOS : ECOLE I3S & CHRISTIAN LAUTÉ