Pas de chance pour l’indélicat, sa victime n’était autre qu’une policière affectée à la Direction de l’ordre public et de la circulation. La scène se passe à Antony, le 13 octobre vers minuit, rue Henri Lasson. Hors service, la policière maîtrise l’homme, mais se fait mal au pouce.
Ses collègues interviennent et placent l’agresseur en garde à vue. Laissé libre moins de 24 heures plus tard, il sort avec une composition pénale. « C’est maintenant au juge de décider », glisse une source policière : « Il aura une amende, un stage de sensibilisation ou encore des travaux d’intérêts généraux ».
